dec 26, 1400 BC - Lineaire B - Crete

Description:

On a une tradition littéraires avec Homère, Hérodote, Thucydides. Ils évoquent une société ayant existé bien avant eux. On garde l’idée d’un certains nombre de royaumes à une époque reculée.

Documents archéologiques surtout, nombreux pour l’époque, surtout dans le domaine funéraire.
Grand déficit au niveau de l’habitat par rapport au funéraires (rapport de 8 pour 2)

Documents épigraphiques dont en linéaire B -> ectriture syllabaire.
1ers exemples retrouvés à Knossos par Evans.

(3000 tablettes dont 75% incomplètes, on en retrouve encore et on réalise un certains nombre de collages. On retrouve aussi un lot très important de plusieurs centaines de tablettes en linéaires B à Pylos. Au total, on a quelques 1200 documents. On en retrouve à Mycènes, à Thèbes, à Tirynthe.
On possède environ 5000 documents de types linéaire B (généralement des documents
comptables.)
On retrouve aussi des vases à Orchomène, Eleusis, Chantia, Arméni.
Les documents se retrouvent sous formes de tablettes, de feuilles ou encore de sceaux. Il y a 87 signes et des idéogrammes.

Documents continentaux +/- XIII° siècle (surtout 2° moitié)
Documents en Crète -> fin XV° - début XIV°.

On interprète le linéaire B = dérivation d’un système de notation qui pour être précis n’est pas exactement le linéaire A mais en est une forme restituée.
On voit les similitudes avec le linéaire A mais ce n’en est pas.
Les philologues supposent que le linéaire A était utilisés sur d’autres supports.
En 1952, John Chadwick et Michael Ventris, philologue et architecte, qui ont travaillé sur le
déchiffrement du linéaire B en émettant l’hypothèse que c’était du grec. De leurs recherches, on peut déduire que la langue est la même partout ainsi que le système de notation, on peut donc déduire une grande unité.

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